Il y a, dans les textes, une insistance sur l’écoute. Dans le quotidien, nombreux sont ceux qui entendent mais ceux qui écoutent sont rares. Quand on récite, le Shema, on sent la profondeur du verbe écouter, on devient attentif à soi, à l’Eternel. Si on écoute quelqu’un qui va mal, on ressent son mal-être, car l’écoute sollicite l’empathie et l’interpellent.
Peu de gens savent écouter, sentir, consoler et même si on ne peut rester longtemps dans cette dimension, on peut apprendre à la développer. Rabbi Nahman avait l’habitude de se retirer dans la nature et de s’adresser à l’Eternel, comme s’il s’adressait à un ami, à un autre lui-même, et ses prières touchent l’âme de celui qui les lit car ces prières sont empreintes de bonté et la confiance envers soi, envers les autres et l’environnement dans l’icône et maintenant du partage.
Il y a, dans les textes, une insistance sur l’écoute. Dans le quotidien, nombreux sont ceux qui entendent mais ceux qui écoutent sont rares. Quand on récite, le Shema, on sent la profondeur du verbe écouter, on devient attentif à soi, à l’Eternel. Si on écoute quelqu’un qui va mal, on ressent son mal-être, car l’écoute sollicite l’empathie et l’interpellent.
Peu de gens savent écouter, sentir, consoler et même si on ne peut rester longtemps dans cette dimension, on peut apprendre à la développer. Rabbi Nahman avait l’habitude de se retirer dans la nature et de s’adresser à l’Eternel, comme s’il s’adressait à un ami, à un autre lui-même, et ses prières touchent l’âme de celui qui les lit car ces prières sont empreintes de bonté et la confiance envers soi, envers les autres et l’environnement dans l’icône et maintenant du partage.
Erreur de transcription : dans l’ici et maintenant de l’écoute.